AHouston aux Etats-Unis, un homme de 26 ans a été très sérieusement blessé d'une balle dans la tête alors qu'il tournait un Facebook Live. Au moment du drame, il se trouvait avec deux amis dont
Facebook Live a vu passer plusieurs cas de suicide ces derniers mois. Mark Zuckerberg s’était de lui-même engagé à mettre en place des dispositifs visant à éviter la diffusion de ces directs. Il semblerait que les mesures prises ne soient pas suffisantes. Un nouveau cas de suicide en direct a été recensé en Thaïlande. Le drame a eu lieu plus tôt dans la semaine. La victime est un homme de 37 ans originaire de Suphan Buri du nom de Napat Kullapachayakarn. D’après les enquêteurs, la victime travaillait depuis plusieurs années pour une usine appartenant à Toyota Motors et il partageait sa vie avec Noi, une femme de son âge. Un suicide filmé en direct avec Facebook Live L’homme avait tendance à être très porté sur la bouteille et son addiction était la source de nombreux conflits au sein du couple. Napat et Noi se disputaient en effet très souvent et cette dernière lui reprochait ainsi de trop boire et de passer trop de temps avec ses amis. Plus tôt dans la semaine, une nouvelle dispute a éclaté au sein du couple. Noi a alors quitté les lieux pour passer la nuit chez des amis. Napat, de son côté, a continué à boire et il a fini par se rendre dans le parking de la copropriété où il vivait avec sa petite amie. En arrivant au niveau de sa voiture, il a démarré la retransmission d’un live sur Facebook et il a posé son téléphone sur le capot du véhicule. Puis, Napat a sorti une arme de poing et il a placé le canon contre sa tempe avant de faire feu. Noi est arrivée sur place une demi-heure plus tard avec la police, alertée par des proches. Les secours n’ont pas pu ranimer l’homme. Ce n’est pas la première fois que la plateforme sociale est le théâtre d’un tel drame et de nombreux suicides ont ainsi été retransmis en direct depuis le lancement du service. Plus tôt dans l’année, une femme de dix-huit ans s’est ainsi jetée d’un pont suite à une rupture amoureuse et toute la scène a été retransmise sur la plateforme. La vidéo est restée en ligne pendant plusieurs heures avant d’être suspendue par les modérateurs du service. Un problème de modération L’année dernière, un homme de cinquante-quatre ans s’est à nouveau tiré une balle dans la tête en prenant soin de retransmettre toute la scène sur la plateforme. Encore une fois, la vidéo est restée en ligne pendant plusieurs heures avant d’être supprimée. À l’époque, Facebook avait déclaré que la plateforme ne permettait pas la promotion des mutilations ou du suicide. Par la suite, Mark Zuckerberg avait promis de déployer des outils de modération automatisés afin de limiter autant que possible la portée de ces vidéos. Toutefois, la tâche s’annonce difficile. Analyser en temps réel des vidéos en cours de diffusion n’est pas tâche aisée, encore moins lorsque des milliers de lives sont retransmis chaque jour. Encore une fois, cette histoire nous pousse finalement à nous demander si Facebook n’a pas ouvert malgré lui une nouvelle boîte de Pandore.
Lartiste, qui a été la cible de tirs quand il a tenté de s'enfuir, est désormais en sécurité et en bonne santé, selon un communiqué du groupe. Skip to content août 22, 2022
Une chasse à l’homme est en cours à Cleveland dans l’Ohio, aux Etats-Unis. Selon la police locale, le suspect, âgé de 37 ans, a diffusé le meurtre d’un passant sur Facebook Live et en revendique de nombreux autres, que la police n’a pour l’instant pas confirmés, tel que l’a expliqué la porte-parole Sgt. Jennifer Ciaccia, interrogée par une vidéo qui circule sur les réseaux sociaux, on voit l’homme s’approcher d’un homme âgé avant de l’abattre froidement d’une balle dans la tête. La page Facebook du suspect, Steve Stephens, où la vidéo a été publiée en direct, a été suspendue. Activement à sa recherche, la police de Cleveland précise que le suspect est armé et dangereux ».Source
Cettedernière s'est donné la mort en sautant de l'immeuble où elle vivait à New-York, le 30 janvier. Delphine Wespiser, Miss France 2012, est revenue sur les difficultés du quotidien des reines de beauté : "Les gens voient qu'on est médiatisées, qu'on a de l'argent et qu'on a la belle vie. En fait, en une seule vie, on a deux vies. On
Publié14 décembre 2021, 2144États-UnisIl annonce en direct sur Facebook qu’il va tuer son ex Oh, la voilà»Un Américain de 44 ans a abattu son ancienne copine d’une balle dans la tête. Il a ensuite posté une vidéo sur le réseau social pour annoncer qu’il allait en faire de même avec son Black a tué deux de ses anciennes compagnes avant de retourner l’arme contre regard vide, Rajaee Black fixe la caméra de son téléphone et se lance, en direct sur Facebook, dans une confession glaçante. J’ai fait quelque chose de fou. Je viens de tirer une balle dans la tête de mon ex-copine. On aurait dit un rêve. Jamais je n’aurais pensé être ce type. Je ne peux pas aller en prison, alors la personne qui a vraiment déclenché ma dépression et tout ça, c’est mon ex-femme. Donc c’est à son tour», explique-t-il. Quelques secondes plus tard, une porte s’ouvre et l’homme de 44 ans s’exclame Oh, voilà mon ex-femme. Le jour est arrivé», avant de foncer dans sa direction. La vidéo s’arrête tournée morbide de Rajaee Black a commencé samedi après-midi dans une résidence de Baltimore Maryland. Vers 13h, la police locale a découvert le corps de Tara Labang, qui était l’ex-petite amie du quadragénaire. La femme âgée de 41 ans avait été abattue d’une balle dans la tête. Selon les autorités, le suspect a ensuite roulé une demi-heure jusqu’à Colombia, où se trouvait l’appartement de son ex-épouse. C’est là qu’il a commencé à diffuser sa vidéo en direct sur les réseaux sociaux. Natalie Black, 42 ans, a également été tuée par balles. L’auteur des faits a ensuite retourné l’arme contre dans la voiturePeu après le drame, la police a retrouvé les deux jeunes enfants de Rajaee Black dans la voiture de celui-ci, rapporte People». Le véhicule était garé sur le parking du complexe d’appartements. Les enfants ont été placés dans un environnement sûr et n’ont pas été témoins de l’incident», ont assuré les autorités dans un communiqué. Dans sa vidéo, le quadragénaire affirmait qu’il était accusé de maltraiter ses enfants et qu’il était au cœur d’une bataille pour leur garde depuis trois ans.Voilà ce à quoi nous sommes tout le temps confrontés avec les armes et la violence domestique, et cette volonté qu’ont les gens d’utiliser ces armes pour évacuer leur colère et résoudre les conflits», a déploré Michael Harrison, commissaire de police de suicidaires? Faites-vous ressentez des pensées suicidaires, ou vous vous inquiétez pour un proche? Parlez-en et faites-vous aider, 24/ Main Tendue adultes, 24/7 143Pro Juventute jeunes, 24/7 147Urgences médicales suicidejoc
LavontayWhite, tout jeune garçon de deux ans, a été abattu d’une balle dans la tête dans un scène diffusée en direct sur Facebook Live. Le garçonnet était assis à l’arrière d’une berline rouge en compagnie de sa tante, qui filmait l’escapade, et d’un homme de 26 ans. Selon la police, ce dernier était la cible d’un gang rival.
La scène a choqué l'Amérique. Mardi, le meurtre d'un enfant de deux ans et d'un homme de 26 ans, cible d'un règlement de comptes, a été filmé et diffusé en direct sur Facebook. Le petit garçon, Lavontay White, se trouvait mardi à l'arrière d'une berline rouge en compagnie d'une tante de 20 ans et d'un homme de 26 ans, à Chicago, lorsque la voiture a été criblée de balles. La tante de l'enfant filmait l'escapade en famille et la diffusait sur Facebook Live quand l'enfant et l'homme ont chacun reçu une balle dans la tête. Selon la police de la ville, l'homme était la cible de ce règlement de compte lié à une guerre de gangs. Le tireur est toujours recherché. Chicago, capitale du crimeSur les images diffusées en live, la jeune femme à l'origine de la vidéo, elle-même blessée à l'abdomen, crie et s'enfuie du véhicule sous les tirs qui s'enchaînent. Elle s'engouffre ensuite dans une ruelle de Chicago, qui a tristement redonné sens ces derniers mois à sa réputation de capitale du crime. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement "Nos enfants ne devraient pas continuer de payer le prix de notre incapacité à tenir pour responsables de leurs actes les récidivistes" qui se servent d'armes à feu, a déploré le chef de la police locale, Eddie Johnson, mardi. "J'en ai assez, et je sais que Chicago en a assez" également, s'est-il énervé. 750 meurtres et quelque 3500 fusillades Des incidents visant des enfants se sont multipliés récemment. Le samedi précédant ces faits, le membre d'un gang, âgé de 19 ans, a été inculpé pour le meurtre d'une fillette de 11 ans. En 2016, Chicago a recensé 750 meurtres et quelque 3500 fusillades, un niveau de violences qui n'avait plus été observé depuis deux décennies. La violence par arme à feu et les homicides ont atteint l'année dernière des proportions telles que le président Donald Trump, à peine arrivé à la Maison Blanche il y a trois semaines, avait menacé d'"envoyer les Feds" [la police fédérale] si la ville n'endiguait pas le "carnage" en cours. Plusieurs images de meurtres ou de suicides ont déjà été publiées sur le réseau social. En début de semaine, deux journalistes d'une radio dominicaine ont été tués par balles, alors qu'ils filmaient leur émission et la diffusaient en direct sur Facebook. Aux Etats-Unis en 2015, le meurtre en direct de deux journalistes d'une télévision locale, avait particulièrement choqué, notamment parce que le tueur -un de leurs anciens collègues- avait également filmé la scène pour ensuite la diffuser sur les réseaux sociaux. Les plus lus OpinionsEditoAnne RosencherChroniquePar Gérald BronnerLa chronique d'Aurélien SaussayPar Aurélien Saussay, chercheur à la London School of Economics, économiste de l'environnement spécialiste des questions de transition énergétiqueChroniqueAbnousse Shalmani Unjeune homme de 19 ans a été tué par balle ce mardi soir dans le centre-ville de Cayenne. Il était 18h30 environ quand une violente altercation s’est produite dans la cage d’escalier d’un immeuble récent, appartenant à la Siguy, au 55 de la rue Rouget de Lisle, en parallèle du boulevard Nelson Mandela.
l'essentiel La députée fraîchement réélue fait le point sur les mesures votées au début de l’été et sur les propositions à venir. Réélue il y a tout juste deux mois, la députée LREM du Lot, Huguette Tiegna a passé beaucoup de temps sur les bancs de l’Assemblée nationale à l’entame de ce 2e mandat. À la veille de partir en vacances, l’élue – qui fait désormais partie de la commission d’évaluation des politiques publiques et de celle du développement durable et de l’aménagement du territoire – fait un point sur les mesures votées en début d’été et les propositions sur lesquelles elle travaille. Entretien. Comment avez-vous débuté ce 2e mandat de députée ? Il faut d’abord remercier les Lotois pour leur confiance qui nous oblige à respecter nos engagements. Les premiers étaient le texte sur le pouvoir d’achat et la fin de la loi d’urgence sur la santé. On a pu voter ces lois et on peut se réjouir du résultat. C’est un second mandat tout à fait différent du premier, le contexte n’est pas le même. Avec la majorité relative, on est obligé de dialoguer, de composer pour trouver une majorité de projets. Cela a bien fonctionné jusqu’à présent. Quelles mesures concrètes vont s’appliquer ? Sur les impôts d’abord, on avait acté la suppression de la redevance audiovisuelle. C’est un gain de pouvoir d’achat de 138 € pour les 23 millions de personnes concernées. Les retraités aussi nous ont attendus beaucoup. On a acté +4 % de leurs pensions. On peut parler aussi de ce qui nous concerne tous la question de la mobilité. Sur le prix des carburants, après une remise de 18 centimes en août, elle sera de 30 centimes à partir du 1er septembre. La fonction publique attendait beaucoup de l’augmentation du point d’indice. On a voté un budget pour compenser leur manque à gagner. Notre objectif, c’est que le travail paye mieux la prime Macron peut être triplée en fonction de l’employeur. On traverse des zones de turbulence avec beaucoup de difficultés de recrutement. Cela permet aux entreprises de pouvoir récompenser les salariés. Pour défendre leur pouvoir d’achat, des salariés de Ratier-Figeac ont mené un long mouvement de grève en début d’été. L’avez-vous suivi ? Oui j’ai suivi ce mouvement, mais en tant qu’élue quand il y a des négociations dans une entreprise, j’estime qu’on ne peut pas intervenir. Même si je sais que des élus locaux l’ont fait… Lors de ces négociations, on savait qu’il y avait des éléments de la loi qui allaient arriver. L’État a beaucoup aidé les entreprises du Lot avec France Relance mais certaines restent fragiles. On a vu la SAM. Il faut tous travailler à la rentrée pour avancer. Concernant la jeunesse, j’ai une proposition un jeune, un mentor » pour accompagner des jeunes qui souhaitent créer leur entreprise. Le problème du recrutement est une réalité dans le secteur, notamment pour la saison… À la rentrée, il va y avoir des travaux dans la suite de la loi pour essayer de trouver des solutions. Dans le domaine des métiers de bouche et chez les saisonniers, il faut faire en sorte que ces métiers reviennent au goût du jour. De mon côté, je vais réfléchir à comment mieux aider notamment les saisonniers sur la problématique de la garde d’enfants. Il y a des initiatives dans des pays européens qu’on va regarder avec pourquoi pas l’instauration du CDI saisonnier. C’est une idée à approfondir pour aider notre territoire touristique. Autre actualité la sécheresse qui sévit sur le territoire. Comment comptez vous aider les agriculteurs ? Dans la loi pouvoir d’achat, 480 millions d’euros ont été votés pour le secteur agricole. Ici, les agriculteurs en ont beaucoup pris avec la grippe aviaire d’abord. Des fonds viennent d’être débloqués pour accompagner nos éleveurs. La bonne nouvelle, c’est qu’ils ont commencé à repeupler le 22 juillet. Le territoire a connu aussi des épisodes de grêle, beaucoup de noyers sont tombés dans le nord du Lot. Aujourd’hui, le gros du sujet est la sécheresse. C’est vraiment catastrophique. La question qui se pose aujourd’hui concerne les retenues d’eau. Le Lot est d’ailleurs au cœur d’une expérimentation. La santé fait partie aussi de vos priorités. Sur quelle proposition travaillez-vous ? On manque particulièrement de sages-femmes. C’est un problème pour les maternités qui sont susceptibles de fermer. C’est un des sujets que je traite. J’ai d’ailleurs fait une tribune sur ce sujet. C’est la mandature où il faut régler ces urgences.
Lorsd’une vidéo live sur Instagram le 10 avril dernier, Malaci a appuyé sans faire exprès sur la gâchette d’un pistolet chargé. Mort en se prenant une balle en pleine tête, sa mère Shaniqua Stephens qui a été interpellée par le bruit, alerte les secours pour l’évacuer.
Publié le mercredi 4 Avril 2018 à 08h47 Un Américain de 26 ans a été grièvement blessé après avoir reçu une balle dans la tête... en plein Facebook Live. Cassandra Damper, une Américaine de 25 ans, a été arrêtée par la police à Houston après avoir tiré dans la tête d’un de ses amis. Ce dernier, Devyn Holmes était dans une voiture avec deux camarades, en train de se filmer et de diffuser la scène en direct sur Facebook lorsqu’il a été percuté par une balle perdue. Tout s’est passé très vite dans cette séquence qui a déjà été visionnée des milliers de fois et dont la fin a été censurée. Si l’ambiance entre les trois individus semble détendue, on peut rapidement voir le jeune homme, pas très à l’aise, dire à sa copine qu’elle le rend nerveux lorsqu’elle prend le fusil en main. Dans la foulée, un coup de feu est alors tiré, probablement par mégarde. Père de deux enfants, Devyn Holmes a été touché à la tête et hospitalisé. Il est toujours entre la vie et la mort. Ses deux amis », eux, avaient pris la fuite suite à ce drame, avant d’être interpellés. Cassandra Damper a expliqué qu’elle ne savait pas que le fusil état chargé.
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